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dites stop à la maltraitance​​​​

​Pour l’aggravation des peines contre les tortionnaires d’animaux

 

En l’état de la législation en vigueur, une personne qui torture un animal, lui inflige les pires sévices, lui cause les plus grandes souffrances et le met à mort dans des conditions atroces, encourt une peine qui ne pourra excéder un mois d’emprisonnement et 7'500 $ d’amende (article 504. du code pénal de l’État de San Andreas).

Par comparaison, un acte de dégradation sur un bien appartenant à autrui, sans danger pour les personnes, est puni de trois mois d’emprisonnement et de 10'000 $ d’amende.

Le fait que la peine maximale pour dégradation d’un bien soit supérieure à celle encourue pour des actes de barbarie infligés à un être vivant interroge sur les valeurs que notre société entend promouvoir.

Dans le système répressif actuel, la portée d’un acte de cruauté envers un animal et la souffrance qui lui est causée apparaissent largement sous-estimées.

Les sanctions encourues, trop faibles, peu dissuasives et jamais prononcées à leur maximum, ne sont pas à la hauteur des horreurs que les tribunaux ont à connaître.


La reconnaissance de l’animal en tant qu’être vivant doué de sensibilité doit pleinement produire ses effets sur le plan pénal par l’aggravation de la peine encourue par les tortionnaires.

Par cette pétition, je demande une aggravation de la répression pénale contre les auteurs de sévices graves ou de nature sexuelle, ou d’actes de cruauté envers les animaux, par une élévation de la peine à un an d’emprisonnement et 15'000 $ d’amende.

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